Le 12 avril, le village recevait le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, venu rencontrer les jeunes et les équipes et, plus particulièrement, la promotion Olympe, nom de la maison dédiée aux orphelins majeurs que nous préparons aux concours de la police.
Accueilli en fin de matinée par notre président Hervé Poyet, nos deux vice-présidents, Alain Gagnepain et David Auroi et notre secrétaire général, Pascal Pradier, le directeur général de la police nationale s’est rendu dans la salle commune pour une présentation générale du village par sa directrice, Djamila Bouizegarène. Notre président est revenu, quant à lui, sur l’évolution des modes d’accueil de nos orphelins, de l’ouverture de l’orphelinat d’Osmoy en 1929 à celle des villages au début des années 2000.
Après une réunion de travail avec nos représentants visant à échanger sur les évolutions et les projets de notre institution, Frédéric Veaux a rejoint la maison Olympe pour faire la connaissance des trois élèves de la 4e promotion : Romane, Romain et Yann. Pour l’occasion, quatre « anciens », dont certains ont intégré une école de police ou sont désormais en poste, avaient fait le déplacement.
Au terme d’un déjeuner convivial, Frédéric Veaux a réaffirmé son attachement à Orphéopolis ainsi qu’à nos valeurs communes de solidarité et d’esprit de cohésion. Il a également exprimé sa considération pour le travail que nous accomplissons, l’engagement de tous au quotidien. Un mot aussi à nos enfants pour les assurer de notre soutien et de la grande attention que nous portons à leur avenir.
Après un détour par la maison voisine Étincelle afin de visiter les lieux de vie et s’attarder auprès des enfants qui faisaient alors leurs devoirs, le DGPN a de nouveau rejoint la salle commune pour une rencontre avec tous les jeunes et les équipes du village autour de rafraîchissements et mignardises.
Puis est venu le temps du départ. La vie du village a alors repris son cours avec la chasse aux œufs qu’aucun enfant, même sous la légère averse qui débutait, n’aurait manquée !
© Franck Dunouau